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| Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage |
| Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, |
| Qui suivent, indolents compagnons de voyage, |
| Le navire glissant sur les gouffres amers. |
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5 | A peine les ont-ils déposés sur les planches, |
| Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, |
| Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches |
| Comme des avirons traîner à côté d'eux. |
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| Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule! |
10 | Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! |
| L'un agace son bec avec un brûle-gueule, |
| L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! |
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| Le Poète est semblable au prince des nuées |
| Qui hante la tempête et se rit de l'archer; |
15 | Exilé sur le sol au milieu des huées, |
| Ses ailes de géant l'empêchent de marcher. |
CHIC
ResponderEliminar@María;: ¿chic to chic?
ResponderEliminarTOO CHIC
ResponderEliminarque maravilla de música! que recuerdos del chiqui tenis de san sebastián, perdidamente enamorada de alguien que no me hacía caso...
ResponderEliminarAdivuna quien soy...
@Anónimo:
ResponderEliminarhttp://www.youtube.com/watch?v=Ug-Wt12vH3I